Consigne : représentez le plus fidèlement possible un objet de votre trousse (sauf la gomme).
Contraintes : medium : stylo bille /feutre, format A4
Compétence technique : Choisir, organiser et mobiliser des
gestes, des outils et des médiums en fonction des effets qu’ils
produisent. (stylo et feutre)
Compétence Théorique : Représenter le monde environnant en explorant divers domaines (dessin)
Compétence culturelle : Être capable d’expliquer son travail.
Une esquisse et un dessin rapide comportant les
détails principaux. Ils se situe entre le dessin finalisé (toutes les
ombres et les détails) et le schéma (la formes générale).
Support : c’est sur quoi on peint ou dessine
Medium : c’est se qu’on applique sur le support.
Outils : c’est se qui nous permet d’appliquer le medium sur le support.
Ombre propre : elle est sur l’objet
Ombres portée : c’est l’ombre de l’objet sur le sol ou le mur.
Trames : lignes, hachures, poins permettant de représenter les ombres.
Dessin d’observation : dessiner à partir d’un sujet réel.
Remord ou repeint : élément non corrigé du dessin , pouvant être recouvert ou non.
Pablo Picasso, Paul en Arlequin, 1924
Références:Albrecht Dürer 1515 gravure sur bois (21,3 x 29,5 cm)
Eugène Delacroix, le lion et la tortue 1835 dessin.
Question : Comment avez vous fait pour rendre votre dessin le plus réaliste possible?
Consigne : En ouvrant la porte d’un nouveau monde, vous découvrez un paysage fantastiques où les lignes droites n’existent pas et vous vous retrouvez nez à nez avec une créature fantastiques.
Contraintes :
– Découpage/ Collage de papiers colorés
– Ne plus laisser apparaître le blanc du support
– Format A3
Les compétences évaluées :
Compétence technique : Explorer l’ensemble des champs de la pratique plastique et leurs hybridations.
Compétence théorique : S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et réflexive.
Compétence culturelle : Expliciter sa pratique individuelle.
Vocabulaire : organisation en plan, composition
Organisation en plans : L’organisation d’une image en plusieurs plans qui se superposent (premier plan, second plan, arrière plan…).
Ando Hiroshige, Le Pin de lune dans le lac avec la pagode de Benten, série des 100 vues d’Edo, 1857, dimensions non indiquées.
Composition : Organisation réfléchie des éléments les uns avec les autres et par rapport au support.
Références :
Le cri, de Edward Munch, 1893, 91 x 73 cm, peinture sur carton
La tristesse du roi, Henri Matisse, 1952, 2,92 x 3, 86 m, papiers gouache collés
La nuit étoilée, Vincent Van Gogh, 1889, 73 x 92 cm, huile sur toile
Question : Comment avez vous faits pour créer l’impression de profondeur dans votre paysage ?20
Consigne 1 : Représentez le premier portrait en retrouvant sa composition et en l’adaptant a son support.
Contraintes 1:
Format: 24×32
Médium: crayon de papier, fusain.
Consigne 2 : Représentez le portrait projeté en adaptant médium et outil au support.
Contraintes 2 :
Format : A3 A4 A5
Medium : Fusain/ Pastel, Stylo bille fin ou feutre noir fin Aquarelle
Notions abordées: composition et format et comment adapter la technique au format.
Compétence Plastique : Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu.
Compétence Théorique : S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et réflexive.
Compétence Culturelle : Dire avec un vocabulaire approprié ce que l’on fait, ressent, imagine, observe, analyse ; s’exprimer pour soutenir des intentions artistiques ou une interprétation d’œuvre. Établir des liens entre son propre travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées.
Vocabulaires : Portrait, Support, Médium, Nuance, Estomper, Mise en valeur .
Portrait : Représentation de quelqu’un par un médium, tel que le dessin, la peinture, la photographie, etc.
Support : élément sur lequel on va déposer la matière (toile, feuille, carton, etc).
Médium: technique avec laquelle on créé une production artistique (peinture, crayon, fusain, etc).
Nuance : une même couleur dégradé du plus clair au plus foncé.
Georges Seurat, A l’Eden-Concert, 1886-1887, fusain et crayon, 297 x 229 cm.
Estomper : étaler la matière pour adoucir certains traits ou créer des ombres.
Georges Seurat, Laurent Ernest Joseph (1859-1929), Crayon noir sur papier.
Mise en valeur : action de mettre en avant , de souligner, une œuvre ou une partie de celle ci, (par la couleur, la lumière, le cadrage).
Johannes Vermeer, La jeune fille à la perle, 1665, 44,5x 39 cm. Rembrandt, Portrait d’Herman Doomer, 1640, 75.2 × 55.2 cm
Comment avez vous adapté le médium au format que vous avez choisi ? En quoi la photo projetée est elle différente ou similaire des portraits représentés en références (Composition, technique, mise en scène) ?2
Choisissez et représentez une valeur humaine que vous aimeriez incarner plus tard. (respect,ordre, justice, charité, éducation création…)
Contraintes :
Vous
devrez produire une composition mélangeant typographie, symboles et
représentation graphiques
techniques sèches
format 24×32 blanc
Compétence technique : Choisir,
mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en
fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant
attentif à l’inattendu.
Compétence théorique : S’approprier
des questions artistiques en prenant appui sur une pratique
artistique et réflexive.
Compétence culturelle : Dire avec un
vocabulaire approprié ce que l’on fait, ressent, imagine, observe,
analyse ; s’exprimer pour soutenir des intentions artistiques ou
une interprétation d’œuvre.
Notions abordées : la symbolique et
l’allégorie dans l’art. La composition graphique et typographique.
Valeurs humaines : ce sont les valeurs
qui créent le lien avec les autres en touchant l’humanité de
l’autre à partir de notre propre humanité. (respect, la
considération, l’accueil, l’ouverture, l’entraide, la
solidarité, l’écoute, la bienveillance, la justice,
l’intégrité, le refus de la violence…)
Edvard Munch, Portrait de Friedrich Nietzsche (philosophe allemand, précurseur du mouvement existentialiste, influençant les mouvement artistiques de la fin du 19e et du début du 20e siècle) 1906, huile sur toile,201,0 cm x 160,0 cm,
Allégorie : Elle consiste à
représenter de façon imagée, en la matérialisant, une idée
abstraite. On fait donc appel aux symboles. Un ensemble
d’indices renvoie à une idée comme la justice, le temps, la mort
etc. Elle peut faire appel à la personnification.
Titien, Allégorie du temps gouverné par la prudence 1550-1565 huile sur toile 75,5 cm x 68,4 cm National Gallery , Londre.
Symbolique : sens que l’on peut attribuer à des objets ou des couleurs (rouge : colère) et reconnaissable par tous.
Les Attributs de la peinture, de la sculpture et de l’architecture 1769 Anne Vallayer-Coster, musée du Louvre.
Composition : Organisation
réfléchie des éléments les un avec les autre et par rapport au
support. Elle est basée sur des LIGNES DE FORCE (ou
lignes directrices). Ce sont les directions principales que suivent
les éléments principaux (formes ergométriques, figures, couleurs).
Jacques Louis David, Le serment des Horaces, 1784 .
la typographie : elle désigne les
différents procédés de composition et d’impression utilisant des
caractères et des formes en relief, ainsi que l’art et la manière
d’utiliser les différents types de caractères dans un but
esthétique et pratique. Elle peut servir à crée une ambiance et
renforcer le concept d’une production graphique.
Joost Schmidt : Affiche pour l’exposition du Bauhaus de 1923. exemples de typographies
Questions : Comment avez vous fait pour nous
faire comprendre quelle valeur humaine vous avez choisi de
représenter ?
– matériaux variés en fonction de la représentation de l’insecte
– en 3 dimensions
– il devra tenir sur ses pattes
Consigne 2 :
Il devra être mis en valeur et pris en photo.
Compétence technique. Donner forme à son imaginaire en explorant divers domaines (sculpture)
Compétence Théorique. Adapter son projet en fonction des contraintes de réalisation.
Compétence culturelle. Décrire et interroger à l’aide d’un vocabulaire spécifique ses productions plastiques, celles de ses pairs et des œuvres d’art étudiées en classe.
Volume : c’est la place que quelque chose prend dans l’espace (longueur, largeur et épaisseur).
Pablo PICASSO, Tête de Taureau, 1942CESAR, La poule à limes, 1981
Stabilité : tenir en équilibre.
Assemblage : Créer un ensemble à partir de plusieurs éléments.
Recyclage : Utiliser des éléments destinés a être jeté pour en faire autre chose.
Cohérence : le fait que votre production ressemble à l’élément qu’on a voulu représenter.
Louise BOURGEOIS, Maman, 1999
Statut de l’objet : Objet usuel (utilisé au quotidien), artistique (une œuvre créée et mise en valeur par un artiste), culturel (objet qui peut appartenir à l’artisanat, ayant une valeur artistique ou historique).
Claes Oldenburg, Shuttlecocks,1994
Question : Comment ton insecte peut il être considéré comme un objet artistique?
Consigne : Imaginez la Némésis de votre avatar, puis mettez les en scène.
Vous inventerez le costume et le symbole, blason ou logo en lien avec la Némésis de votre avatar, puis vous lui donnerez un nom.
Contraintes :
–
Technique libre
–
Format A4
Compétence
technique : Choisir, mobiliser et adapter des
langages et des moyens plastiques en fonction de leurs effets dans une
intention artistique.
Compétence théorique : Faire preuve d’autonomie, d’initiative, de responsabilité, d’engagement et d’esprit critique dans la conduite. d’un projet artistique.
Compétence culturelle : Prendre part au débat suscité par le fait artistique.
Némésis : Némésis est une déesse de mythologie grecque associée à l’idée de vengeance et d’équilibre. Elle désigne dans l’univers des super-héros, le méchant, le super-vilain, le pire ennemi du super héro. Tout super héro a “besoin” de sa Némésis pour exister et vice versa.
NOTE : Vous avez imaginez votre avatar en imaginant une version de vous même idéalisée. Vous devez maintenant réfléchir à ce que pourrait être un personnage qui incarnerait votre parfait opposé.
Mise en
scène : décors et actions des personnages permettant de donner du sens à
l’image.
Cadrage : Le
cadrage permet de décider ce qu’on veut donner à voir dans une image et cacher
ce qu’on ne veut pas montrer.
Publicité Kodak, dans les années 1970, montrant avec humour les effets du cadrage.
Composition : disposition réfléchie de
plusieurs éléments dans un même espace.
Symbole : Objet, image
qui représente quelque chose d’autre par association, ressemblance (symboles
religieux, informatiques, mathématiques, etc). Les symboles sont bien souvent
universels.
Allégorie : Représenter quelque
chose d’abstrait par une forme concrète (mort, justice, victoire, république…).
Gaetano Gandolfi, Allégorie de la justice, 1760, 34 X 44 cm.
Un
blason : c’est une description identifiant son porteur,
pouvant être représentée sur un écu (bouclier), une armure, une bannière ou un
tabar (tunique).
Racontez dans une planche de BD un événement récent de
votre vie qui vous a surpris, ou inventez le.
Vous êtes le personnage principal, vous pouvez vous
représenter dans le style que vous voulez (cartoon, manga, comics,
géométrique…) mais on doit vous reconnaître (vêtements,
accessoires, coupe de cheveux, signes distinctifs).
Vous devrez écrire le scenario et faire le découpage
(répartition des cases) avant de commencer à réaliser votre BD.
Contraintes :
N&B ou couleurs
technique libre
7 a 9 cases dont au moins 5 changement de cadrages/plans.
les bulles et les cartouches de texte sont interdits.
les onomatopée et idéogrammes sont autorisés.
Compétence technique: Prendre en compte les conditions de la réception de sa production dès la démarche de création, en prêtant attention aux modalités de sa présentation.
Compétence Théorique: Se repérer dans les étapes de la réalisation d’une production plastique et en anticiper les difficultés éventuelles.
Compétence culturelle: Expliciter la pratique individuelle ou collective.
Vocabulaire:
Une planche : page entière de B.D., composée de plusieurs
bandes.
Une bande : (aussi appelée un “strip”) succession
horizontale de plusieurs images.
Une vignette : (aussi appelée une case) image d’une
bande dessinée délimitée par un cadre.
Une bulle : (aussi appelée un phylactère) forme variable
qui, dans une vignette, contient les paroles ou pensées des
personnages reproduites au style direct.
Un cartouche : encadré rectangulaire contenant des
éléments narratifs et descriptifs assumés par le narrateur,
appelés également commentaires.
Dans les bulles :
Une onomatopée : mot qui imite un son ; les onomatopées
constituent le bruitage de la bande dessinée.
Un idéogramme : icône, symbole ou petit dessin exprimant
une pensée ou un sentiment.
La typographie : manière dont le texte est imprimé :
caractères, forme, épaisseur, disposition…
Le lettrage : réalisation des textes et dialogues d’une
bande dessinée. Ce travail est parfois assuré par un spécialiste,
le lettreur.
Plans: Ce sont les différentes façons de
présenter le sujet, vu à des distances divers (plan d’ensemble,
gros plan…) selon l’effet recherché. Les plans utilisés
ci-dessous sont aussi ceux utilisés au cinéma -(il en existe encore
d’autres).
Le Très gros plan : Plan qui met en valeur un élément
extrêmement précis. Par exemple: un oeil, un doigt, un canon de
revolver, un bouton…
Le Plan américain : Le personnage est coupé au-dessus des
genoux, il est donc cadré à mi-cuisse.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 4 – Mort ou Vif,
Editions Dargaud – 1994, Page 101
Le Plan moyen (plan-pied) : Le ou les personnages sont
entiers.
Enki Bilal, Croquis pour les décors et les costumes de OPA Mia.
Opéra de Denis Levaillant. Mis en scène par André Engel (Avignon,
1990), In : Nouvel Etat des Stocks, Editions Casterman – 2006
Le Plan de demi-ensemble : Le ou les personnages prennent le
pas sur le décor mais celui-ci reste très présent.
Le Plan Général ou Plan d’ensemble : Le personnage ou
l’élément principal est situé dans le décor, mais c’est ce
dernier qui est important.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 1 – Le Démon des
Caraïbes, Éditions Dargaud – 1992, Page 28
Angles de vue : Les angles de vue : différents
points de vue sous lesquels se présente chaque scène d’une bande
dessinée ; ils représentent la position de la “ caméra ” ou de
l’œil du lecteur ; ils contribuent à la lisibilité, à
l’ambiance et à l’interprétation d’une scène.
La plongée : vue de dessus ; elle situe les personnages dans
l’espace, les uns par rapport aux autres et par rapport à leur
environnement. Elle permet également de dramatiser une scène en
donnant un sentiment d’écrasement, d’infériorité, voire de
menace sur le sujet représenté.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The
Walking Dead, Publication depuis 2003
La contre plongée : vue de dessous ; elle magnifie le sujet,
lui donne un aspect de supériorité et de domination.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The
Walking Dead, Publication depuis 2003.
Procédés d’enchaînement des vignettes :
Une scène : suite d’images se présentant dans le même
décor.
Une séquence : suite d’images
ou de scènes formant un ensemble, même si elles ne se présentent
pas dans le même décor.
Le lien entre les vignettes :
élément assurant un enchaînement spécifique entre deux
vignettes.
Le zoom : succession de plans qui
rapprochent progressivement le sujet.
L’ellipse : temps qui passe
entre deux cases ou deux scènes. L’ellipse permet de sauter des
événements sans importance afin de ne pas casser le rythme de
l’action. (ou au contraire de ne pas montrer un événement
important pour accentuer un suspense).
Le flash-back : “retour en arrière”. On l’utilise en
général pour figurer ou représenter le souvenir d’un
personnage, ou pour raconter une action s’étant déroulée avant
la scène que nous sommes en train de lire.
B. Peeters, F. Schuiten, Les Cités obscures T. 3, La Tour, 1987
ed.Casterman
Hugo Pratt, Corto Maltese “Les Ethiopiques”.
Questions: Comment avez vous fait pour que
nous comprenions votre histoire?
Expliquez quels plans et cadrages vous avez utilisé et pourquoi.
Quelques conseils et pistes de travail
Dans cette séquence vous serez évalué sur votre capacité à
faire la narration d’une courte séquence, d’une scène, uniquement
par les images, leurs cadrage et l’enchaînement des cases.
Nous vous demandons de réaliser une planche (une page) de 7 à 9 cases maximum.
Commencer par écrire de manière simple votre histoire :
la situation de départ est la même pour tous le monde (vous êtes
chez vous quand soudain…)
inventez la suite, ne faite pas quelque chose de trop long, ce
n’est qu’une séquence, une courte scène, et il n’y a pas de
dialogues !
Partez de la situation de départ :
vous êtes dans quelle pièce de votre maison ou appartement ?
Que faite vous ? Quel heure est il ?
Ensuite définissez l’événement qui
vas arriver : un bruit étrange, surprenant, inquiétant?
l’arrivée d’une personne, d’un animal ? Un message sur votre
portable ? Un mot glissé sous la porte ? Une coupure
d’électricité ?, un événement arrivant à l’extérieur…
Puis votre réaction et comment cette scène vas se terminer : allez vous montrer la fin ou vous arrêter sur un suspens ?
Une fois l’histoire définie faites le
« découpage » : qu’allez vous montrez dans chaque
cases, quel cadrage, quel plan.
Faite attention au sens de lecture !
(1er case en haut à gauche, dernière case en bas à droite)
pour la réalisation : la technique est libre : dessin traditionnel sur feuille, collages, photographies…
mais attention votre travail devra
ressembler à une planche de BD, donc avec un cadre et des
séparations entre chaque cases.
Vous pouvez dessiner vos cases sur une
feuille et vos dessins sur la même feuille, ou vos dessin à part et
les coller ensuite dans les cases.
Vous pouvez aussi vous aider
d’application pour faire votre BD comme celle ci :
vous pouvez aussi juste photographier
vos cases et les importer ensuite dans l’application
Vous pouvez aussi directement dessiner dans une application et ensuite les importer dans une planche ou même vous aider d’images prise sur internet, mais attention vous devez les retravailler ! (changement des couleurs, cadrage ou plan différent…)
tous les types de graphisme sont possible, du dessin classique en passant par le comics, le manga ou le dessin géométrique simplifié. Mais aussi la photographie ou le photomontage ou les images 3d (pourquoi pas en faisant des capture d’écran d’un jeux vidéo) .
N’oublier pas que le personnage principal doit vous ressembler d’une certaine manière : physiquement, détails, vêtement….
Consigne : Imaginez une chimère et son environnement.
Contraintes : elle devra comporté au moins 2 têtes, un corps, des pattes avant, des pattes arrière, une queux et des ailles, provenant à chaque fois d’animaux diffèrent.
dessin et collages obligatoire.
Feuille blanche
réalisation en couleurs
Compétence technique. Explorer l’ensemble des
champs de la pratique plastique et leurs hybridations.
Compétence Théorique. Confronter
intention
et réalisation dans la conduite d’un projet pour l’adapter et le
réorienter, s’assurer de la dimension artistique de celui-ci.
Compétence culturelle. Décrire et interroger à l’aide
d’un vocabulaire spécifique ses productions plastiques, celles de
ses pairs et des œuvres d’art étudiées en classe.
Chimère : Monstre
fabuleux, de formes diverses, constitué de plusieurs parties
d’animaux différentes.
Collage : technique
de création artistique qui consiste à assembler par le collage des
éléments séparés, de toutes natures : extraits de journaux avec
texte et photos, papier peint, documents, objets divers.
Henri Matisse, Le Roi triste, 1952, collage, papiers gouachés et découpés, 292 × 386 cm
Hybridation : croisement ou mélange d’éléments
différents.
Fusion : mélange de plusieurs éléments différents
de manière à ce qu’ils ne forment plus qu’un.
Fragments : Morceau d’une chose brisée ou déchirée,
(les fragments d’une image)
Joan FONTCUBERTA, Fauna,
1985-1989, installation (photographies, textes, cartographies,
schémas, vitrines et vidéos)
Max Ernst, L’Ange du foyer, 1937, huile sur
toile, 114 x 146 cm
Questions : comment
avez vous fait pour réaliser une chimère en mélangeant dessin et
collage ?
Quel est le lien entre la
chimère et son environnement ?
Quelques conseils et pistes de travail
Dans cette séquence vous serez évalué sur votre capacité à
utiliser des techniques différentes dans une même réalisation et
sur la cohérence entre votre chimère et le lieu où elle vie.
Vous pouvez réfléchir à son aspect en vous demandant se qu’elle
mange, si elle vie dans un pays chaud ou froid, en foret, en montage,
dans une grotte …Mais aussi si elle vie en groupe ou seul.
Cella peut vous guider dans le choix des têtes, de la couleurs du
pelage ou des plumes, si elle a des écailles, si elle a des rayures
ou des taches pour se camouflée.
Cette production doit comporter du dessin et du collage pour la
représentation de votre chimère.
Vous pouvez faire un dessin au crayon de papier pour ensuite en
remplacer certaine partie par des collages.
N’oublier pas ensuite de mettre en couleurs votre dessin (chimère
et décor)
pour les collage vous
pouvez utiliser des images imprimées, prise dans des vielles revues,
des journaux, ou des publicités. Vous pouvez aussi utiliser des
papiers de couleurs, ou peindre, colorier, des feuilles de couleurs
pour ensuite en découper des parties et réaliser les collages.
Enfin ne négligez pas le décors, il doit être réalisé uniquement en dessin mais entièrement à la couleur. On doit aussi bien comprendre le lien entre votre chimère et le lieu où vous l’avez représenté.
Pour finir, n’oublier pas
que la Chimère est le sujet principal de cette production, ne la
faite pas trop petite et elle dois ressortir, etre mise en avant,
dans votre travail.
Consigne:Photographiez un ou des objets en les mettant en valeur grâce à la lumière.
Contrainte :
Vous devrez faire 4 photos avec des cadrages différents et des lumières différentes (lumière artificielle, lumière naturelle).
Compétence technique : Choisir, organiser et mobiliser des gestes, des outils et des médiums en fonction des effets qu’ils produisent.
Compétence Théorique : Représenter le monde environnant en explorant divers domaines (photographie).
Compétence culturelle : Justifier des choix.
Décrire à l’aide d’un vocabulaire spécifique ses productions plastiques.
Vocabulaire : Composition, point de vue, mise en scène, cadrage, mise en valeur, clair obscur.
Composition : organiser un espace de façon réfléchie.
Jacques Louis David, Le serment des Horaces, 1784
Point de vue :il dépend de l’endroit où tu observes la scène (point de vue frontale : de face ; point de vue en plongée : de haut ; point de vue en contre plongée : de bas ; point de vue aérien : comme en avion).
Mise en scène : Disposition des éléments dans un espace (décors), avec l’intention de créer une atmosphère particulière.
Shan HUR, Oublié, 2010/2011. –> Ici l’artiste met en scène un vase comme si nous l’avions retrouvé dans le mur, à la façon des fouilles archéologiques. On parle de mise en scène, car ce n’est pas réel mais organisé et réfléchi.
Cadrage : Ce qu’on choisi de montrer dans l’image (plan d’ensemble : de loin ; très gros plan : de près).
Mise en valeur : mettre en évidence quelque chose pour que notre regard soit attiré sur celui-ci.
André Kertész, La fourchette, 1928. –> L’artiste met en valeur l’objet en choisissant un plan serré. La lumière est utilisée de façon à mettre en valeur l’objet, grâce au contraste entre ombre et lumière.Boris Achour, Action peu, 1993/1997 –> Ici, l’artiste met en valeur l’objet grâce à la mise en scène. La présence du ballon de foot surprend car il est aligné aux éléments de la rue. Le fait de le positionner comme “intru” par rapport au décors, le met en valeur et attire notre attention sur lui.
Le clair-obscur : c’est le contraste entre zones claires et zones sombres.
Alain Fleischer, L’âme du couteau, 1982
Question :
En quoi l’éclairage de l’objet met-il celui-ci en valeur ?
Expliquez les points communs et les différences entre votre travail et les références.
Réalisez deux cartes postales montrant un paysage PUIS un monument de votre carte de voyage.
Vous réaliserez ces cartes postales en photographiant une mise en scène réunissant plusieurs éléments de votre choix (fond fait à la main ou imprimé, figurine, fabrications personnelles, maquette…).
Contraintes :
2 photos (une du paysage et une du monument)
réalisation en 3 dimensions
Compétence technique. Prendre en compte les conditions de la réception de sa production dès la démarche de création, en prêtant attention aux modalités de sa présentation, y compris numérique.
Compétence Théorique. S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et réflexive.
Compétence culturelle. Décrire et interroger à l’aide d’un vocabulaire spécifique ses productions plastiques, celles de ses pairs et des œuvres d’art étudiées en classe.
Vocabulaire : mise en scène, cadrage, point de vue, plans.
Mise en scène : Disposition des éléments dans un espace (décors), avec l’intention de créer une atmosphère particulière.
Cadrage : Ce qu’on choisi de montrer dans l’image.
Point de vue : Endroit à partir duquel on voit la scène.
Plans : les différents plans qui composent une image. Ce qu’il y a devant jusqu’à l’horizon.
Ando Hiroshige, Le Pin de lune dans le lac avec la pagode de Benten, série des 100 vues d’Edo, 1857, dimensions non indiquées. Jim doran, The shadows of pine island .Joseph Cornell, Boîte au canari, 1949, techniques mixtes, 22 x 15 x 9 cm. Tatsuya TANAKA, Calendrier miniature, depuis 2011.
Question : Quel point de vue as-tu utilisé pour chacune de tes photos ? Comment as-tu fais pour donner l’impression de profondeur ?