Consigne : Transformation de l’objet en autre chose , (la forme fait penser à quoi?) à intégrer dans un environnement
Contraintes : Utiliser plusieurs médiums et entièrement à la couleur. Format 24×32
Compétence technique: Choisir, organiser et mobiliser des gestes, des outils et des médiums en fonction des effets qu’ils produisent. (stylo et feutre)
Compétence Théorique: Représenter le monde environnant ou donner forme à son imaginaire en explorant divers domaines (dessin)
Compétence culturelle: Être capable d’expliquer son travail.
Vocabulaire : transformation , mise en scène et mise en situation, mise en valeurs, contraste, intensités.
Transformation : partir d’un objet et lui rajouter des éléments, pour en faire autre chose.
Mise scène , mise en situation : on intégre l’objet à un décor.
Mise en valeur : rendre visible l’objet, le mettre en avant.
Contraste : c’est la différence entre les parties claires et foncées d’un dessin.
Paul bryan Jr (elvis)
Intensité : couleurs vives
Vladimir Kush départ sur le bateau ailé 2000, huile sur toile (97x77cm)
Pablo Picasso tête de taureau 1942
Question : comment as tu fais pour transformer ton objet?
Consigne : Représentez le portrait projeté en adaptant le médium, outil au support.
Contraintes :
Format : A3 A4 A5
Medium : Fusain/ Pastel, Stylo bille fin ou feutre noir fin, Aquarelle
(Commente adapter la technique au format)
Compétence Plastique : Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu. Compétence Théorique : S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et réflexive. Compétence Culturelle : Dire avec un vocabulaire approprié ce que l’on fait, ressent, imagine, observe, analyse ; s’exprimer pour soutenir des intentions artistiques ou une interprétation d’œuvre. Établir des liens entre son propre travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées.
Vocabulaires : Portrait, Support, Médium, Nuance, Estomper, Mise en valeur .
Portrait : Représentation de quelqu’un par un médium, tel que le dessin, la peinture, la photographie, etc.
Support : élément sur lequel on va déposer la matière (toile, feuille, carton, etc).
Médium: technique avec laquelle on créé une production artistique (peinture, crayon, fusain, etc).
Nuance : une même couleur dégradé du plus clair au plus foncé.
Georges Seurat, A l’Eden-Concert, 1886-1887, fusain et crayon, 297 x 229 cm.
Estomper : étaler la matière pour adoucir certains traits ou créer des ombres.
Georges Seurat, Laurent Ernest Joseph (1859-1929), Crayon noir sur papier.
Mise en valeur : action de mettre en avant , de souligner, une œuvre ou une partie de celle ci, (par la couleur, la lumière, le cadrage).
Johannes Vermeer, La jeune fille à la perle, 1665, 44,5x 39 cm.Rembrandt , Portrait de Nicolaes Ruts , 1631.
Comment avez vous adapté le médium au format que vous avez choisi ? En quoi la photo projetée est elle différente ou similaire des portraits représentés en références (Composition, technique, mise en scène) ?
Imaginez
et réalisez votre avatar. Tel que vous aimeriez être ou tel que
vous vous projetez.
Il
ne doit pas obligatoirement être réaliste.
Contraintes :
Personnage
en pied
Sans
décors
techniques
sèches
format 24×32 blanc
Compétence technique : Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu
Compétence théorique : S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et réflexive.
Compétence culturelle : Dire avec un vocabulaire approprié ce que l’on fait, ressent, imagine, observe, analyse ; s’exprimer pour soutenir des intentions artistiques ou une interprétation d’œuvre.
Vocabulaires :
avatar, mise en scène, allégorie, autoportrait, symbolique
Avatar :
représentation idéalisée ou symbolique de soi.
ORLAN, Self-Hybridation Africaine, 125 x 156 cm, photographie, 2002 Pablo Picasso, Portrait de Dora Maar,1937
Allégorie : Elle consiste à représenter de façon imagée, en la matérialisant, une idée abstraite. On fait donc appel aux symboles. Un ensemble d’indices renvoie à une idée comme la justice, le temps, la mort etc. Elle peut faire appel à la personnification.
Mise
en scène : organisation des éléments en lien
avec sa représentation (accessoire, attitude, expression, position,
etc)
portrait de Louis XIV en costume de sacre Hyacinthe Rigaud, 1701
Autoportrait :Se représenter soi-même mais pas uniquement physiquement.
Vincent VAN GOGH, Autoportrait, 1889, huile sur toile, 51 x 45 cm.
Symbolique :
sens que l’on peut attribuer à des objets ou des couleurs (rouge :
colère) et reconnaissable par tous.
Question: En quoi votre avatar est il une représentation idéalisé de vous même ?
Caché parmi les rayonnages d’une bibliothèque, vous faites la découverte d’une vieille carte des contrées que vous allez explorer cette année.
Consigne :
Imaginez et dessinez cette vielle carte, elle
devra être annotée, comporter une légende et indiquer :
forêt, grotte, savane, plaine enneigée, montagnes, antre de
créatures fantastiques, villages, villes, rivières….
Contraintes :
Attention vous devrez réaliser une Vielle Carte !!
Technique et
support libre
Format 24×32
maximums
Notions
abordées : La création, la matérialité, le
statut, la signification des images : appréhension et
compréhension de la diversité des images; propriétés plastiques,
différences d’intention entre expression artistique et
communication visuelle.
Compétence
technique : Choisir, mobiliser et adapter des
langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets
dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu.
Compétence
Théorique :Exploiter des
informations et de la documentation, pour servir un projet de
création.
Compétence
culturelle : Expliciter la
pratique individuelle ou collective. Interroger
et situer ouvres et démarches
artistiques du point de vue de l’auteur et de celui du
spectateur.
Vocabulaire :
Cartographie, rose des vents, vieillissement, parchemin, imitation,
original, fac-similé.
La
cartographie : c’est la réalisation et l’étude des
cartes géographiques.
Carte
Cassini n° 2 de Beauvais (Oise) : détail vers Creil, Senlis et
Chantilly. 1756
Beatus
de Liebana, Commentarius in
Apocalypsim. Saint-Sever (Landes),
vers 1060. Manuscrit sur parchemin 37 x 29 cm, B.N.F.
Une
rose
des vents : c’est
une figure indiquant les points cardinaux : nord, sud, est, ouest et
les orientations intermédiaires,
Jean-Baptiste
Dutertre, Isle de la Martinique //
située a 14 degrez 30 minutes de latitude septentrionnale. 1654
Un
parchemin :
c’est
une peau d’animal, généralement de mouton, parfois de chèvre ou
de veau, qui est apprêtée spécialement pour servir de support à
l’écriture.
vieillissement :
action plastique visant à modifier, transformer, vieillir un
objet ou le support affin de réaliser une œuvre.
Tom
Friedman, 1992, chaise d’école en bois.
imitation :
Fait de prendre pour modèle le style, la manière, d’œuvres
existantes.
Original :
création qui a été réalisé en premier, œuvre unique.
fac-similé :
Reproduction exacte (conforme à l’original mais parfois
à une autre échelle) d’un document écrit, d’un dessin, d’un
tableau,
Questions :
Comment avez vous fait pour donner l’impression que votre carte
est une vielle carte ?
Quel
point de vue et quelles information nous donnent elle ?
Réaliser
un insecte en 3 dimension, qui devra être reconnaissable (araignée
autorisée) à partir des petits objets que vous avez collecté et
ceux mis à votre disposition.
Contraintes :
–
matériaux variés en fonction de la représentation de l’insecte
–
en
3 dimensions
–
il devra tenir sur ses pattes
Consigne
2 :
Il
devra être mis en valeur et pris en photo dans l’espace de la
classe.
Compétence
technique.
Donner forme à son imaginaire en explorant divers domaines
(sculpture)
Compétence
Théorique.
Adapter
son projet en fonction des contraintes de réalisation.
Compétence
culturelle.
Décrire et interroger à l’aide d’un vocabulaire spécifique ses
productions plastiques, celles de ses pairs et des œuvres d’art
étudiées en classe.
Volume :
c’est la place que quelque chose prend dans l’espace (longueur,
largeur et épaisseur).
Pablo PICASSO, Tête de Taureau, 1942 CESAR, La poule à limes, 1981
Stabilité :
tenir en équilibre.
Assemblage :
Créer un ensemble à partir de
plusieurs éléments.
Recyclage :
Utiliser des éléments
destinés a être jeté pour en faire autre chose.
Cohérence :
La cohérence ressemble à l’élément qu’on a voulu représenter.
Louise BOURGEOIS, Maman, 1999
Statut
de l’objet : Objet usuel
(utilisé au quotidien), artistique (une œuvre créée et mise en
valeur par un artiste), culturel (objet qui peut appartenir à
l’artisanat, ayant une valeur artistique ou historique)
Claes Oldenburg, Shuttlecocks,1994
Question :
Comment ton insecte peut il être considéré comme un objet
artistique?
Consigne : un événement inquiétant, étonnant surprenant à lieu dans la salle de classe. Montrez le nous sans que l’on puisse le voir directement sur la photo.
Contraintes :
On
devra pouvoir comprendre ce qu’il est en train de se passer ou ce
qu’il va se passer.
–
Mise en scène
– Photographie
–
Groupe de 2
Compétence
technique.
Prendre en compte les conditions de la réception de sa production
dès la démarche de création, en prêtant attention aux modalités
de sa présentation, y compris numérique.
Compétence
Théorique.
S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une
pratique artistique et réflexive.
Compétence
culturelle.
Décrire et interroger à l’aide d’un vocabulaire spécifique ses
productions plastiques, celles de ses pairs et des œuvres d’art
étudiées en classe.
Vocabulaire :
mise en scène, cadrage, point de vue, champ, hors champs, narration
Mise
en scène : Disposition des éléments dans un
espace (décors), avec l’intention de créer une atmosphère
particulière.
Cadrage :
Ce qu’on choisi de montrer
dans l’image.
Point
de vue : Endroit à
partir duquel on voit la scène.
Champs :
Ce qui est visible dans
l’image
Hors
champs : Ce qui se
trouve hors de l’image.
Narration :
Ce qui raconte une histoire.
Mac Adams, Still life with Lichtenstein, 1977 Jacques Monory, Melancolie N°2 , 1989 Friedrich Wilhelm Murnau, Nosferatu le vampire, 1922 (Film) Fritz Lang, M le maudit, 1931 (Film) Alain Fleischer, L’âme du couteau, 1982
Question : Comment avez vous fait pour raconter un fait en une image ?
Représentez l’émotion de votre choix seulement à partir de formes abstraites (colère, peur, joie…).
Technique : papiers de couleurs, collage.
Contraintes :
– Recouvrir au maximum la feuille
– dessin interdit !
Compétence technique. Rechercher une expression personnelle en s’éloignant des stéréotype.
Compétence Théorique. Se repérer dans les étapes de la réalisation d’une production plastique individuelle ou collective, anticiper les difficultés éventuelle.
Compétence culturelle.Décrire et interroger à l’aide d’un vocabulaire spécifique ses productions plastiques, celles de ses pairs et des œuvres d’art étudiées en classe.
Collage : technique de création artistique qui consiste à assembler par le collage des éléments séparés, de toutes natures : extraits de journaux avec texte et photos, papier peint, documents, objets divers.
Émotion : La tristesse, la peur, la joie, la colère, la surprise, le dégoût…
Abstraction : L’art abstrait ne représente pas le monde visible. On crée une œuvre grâce à de la matière, des lignes, la couleurs. C’est le contraire de l’art figuratif.
Composition : Action d’assembler et de disposer des éléments dans un même espace.
Giacomo Balla, La guerre, 1916.
Robert Delaunay, Rythme, Joie de vivre, huile sur toile, 1930.
Question : Comment avez-vous montrez une émotion (couleurs, formes, composition)?
Réalisez en groupe de 2 la maquette papier d’une construction.
Technique :
– feuille raisin asymétrique (couper sur la diagonale) + scotch.
Contrainte :
– être la plus haute possible.
– Être « stable » et tenir debout tout seul.
– dont un des éléments devra tenir en partie dans le vide.
– la surface au sol devra faire au minimum 15 cm de côté
Notions abordées: La présence matérielle de l’œuvre dans l’espace: le rapport d’échelle. l’Architecture.
Compétence technique. Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu.
Compétence Théorique. Concevoir, réaliser, donner à voir des projets artistiques, individuels ou collectifs.
Compétence culturelle.Expliciter la pratique individuelle ou collective, écouter et accepter les avis divers et contradictoires.
Établir des liens entre son propre travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées.
Vous faites une expédition sur un des lieux de la carte au trésor.
Grâce à votre imaginaire, dessinez ce que vous voyez.
Technique :
– Dessin et aquarelle
Contraintes :
– Format 24 x 32 cm
– Travail individuelle
– On devra y voir un personnage
Compétence technique. Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu.
Compétence Théorique. Confronter intention et réalisation dans la conduite d’un projet pour l’adapter et le réorienter, s’assurer de la dimension artistique de celui-ci.
Compétence culturelle.Expliciter la pratique individuelle ou collective, écouter et accepter les avis divers et contradictoires
Vocabulaire : point de vue, cadrage, plans, notion d’échelle
Point de vue : il dépend de l’endroit où tu observes la scène (point de vue frontale : de face ; point de vue en plongée : de haut ; point de vue en contre plongée : de bas ; point de vue aérien : comme en avion).
Hengki Koentjoro, Altitude 02, photographie
Cadrage : c’est ce que tu décide de montrer à l’intérieur de ton image (Gros plan, plan rapproché, plan américain, plan d’ensemble, etc).
Claude Gellée, L’Embarquement de la reine de Saba, 1648
Question : En quoi ton travail donne-t-il une autre façon de voir ce lieu de la carte au trésor ?
Comment as-tu fait pour ajouter la notion de profondeur dans ton dessin ?
Consigne : Un personnage dans un lieu sombre entend un bruit sourd / étrange … Que se passe-t-il ?
Réalisez une planche de bande dessiné.
Vous devrez écrire le scenario avant de commencer à dessiner.
Contraintes :
– Dessin
– N&B + une couleur significative
– 7 a 9 cases dont au moins 5 changement de cadrages/plans.
– les bulles et les cartouches de texte sont interdits.
-les onomatopée et idéogrammes sont autorisés.
Compétence technique: Prendre en compte les conditions de la réception de sa production dès la démarche de création, en prêtant attention aux modalités de sa présentation.
Compétence Théorique: Se repérer dans les étapes de la réalisation d’une production plastique et en anticiper les difficultés éventuelles.
Compétence culturelle: Expliciter la pratique individuelle ou collective.
Vocabulaire:
Une planche : page entière de B.D., composée de plusieurs bandes.
Une bande : (aussi appelée un “strip”) succession horizontale de plusieurs images.
Une vignette : (aussi appelée une case) image d’une bande dessinée délimitée par un cadre.
Une bulle : (aussi appelée un phylactère) forme variable qui, dans une vignette, contient les paroles ou pensées des personnages reproduites au style direct.
Un cartouche : encadré rectangulaire contenant des éléments narratifs et descriptifs assumés par le narrateur, appelés également commentaires.
Dans les bulles :
Une onomatopée : mot qui imite un son ; les onomatopées constituent le bruitage de la bande dessinée.
Un idéogramme : icône, symbole ou petit dessin exprimant une pensée ou un sentiment.
La typographie : manière dont le texte est imprimé : caractères, forme, épaisseur, disposition…
Le lettrage : réalisation des textes et dialogues d’une bande dessinée. Ce travail est parfois assuré par un spécialiste, le lettreur.
Plans: Ce sont les différentes façons de présenter le sujet, vu à des distances divers (plan d’ensemble, gros plan…) selon l’effet recherché. Les plans utilisés ci-dessous sont aussi ceux utilisés au cinéma -(il en existe encore d’autres).
Le Très gros plan : Plan qui met en valeur un élément extrêmement précis. Par exemple: un oeil, un doigt, un canon de revolver, un bouton…
Le Plan américain : Le personnage est coupé au-dessus des genoux, il est donc cadré à mi-cuisse.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 4 – Mort ou Vif, Editions Dargaud – 1994, Page 101
Le Plan moyen (plan-pied) : Le ou les personnages sont entiers.
Enki Bilal, Croquis pour les décors et les costumes de OPA Mia. Opéra de Denis Levaillant. Mis en scène par André Engel (Avignon, 1990), In : Nouvel Etat des Stocks, Editions Casterman – 2006
Le Plan de demi-ensemble : Le ou les personnages prennent le pas sur le décor mais celui-ci reste très présent.
Le Plan Général ou Plan d’ensemble : Le personnage ou l’élément principal est situé dans le décor, mais c’est ce dernier qui est important.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 1 – Le Démon des Caraïbes, Éditions Dargaud – 1992, Page 28
Angles de vue : Les angles de vue : différents points de vue sous lesquels se présente chaque scène d’une bande dessinée ; ils représentent la position de la “ caméra ” ou de l’œil du lecteur ; ils contribuent à la lisibilité, à l’ambiance et à l’interprétation d’une scène.
La plongée : vue de dessus ; elle situe les personnages dans l’espace, les uns par rapport aux autres et par rapport à leur environnement. Elle permet également de dramatiser une scène en donnant un sentiment d’écrasement, d’infériorité, voire de menace sur le sujet représenté.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The Walking Dead, Publication depuis 2003
La contre plongée : vue de dessous ; elle magnifie le sujet, lui donne un aspect de supériorité et de domination.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The Walking Dead, Publication depuis 2003.
Procédés d’enchaînement des vignettes :
Une scène : suite d’images se présentant dans le même décor.
Une séquence : suite d’images ou de scènes formant un ensemble, même si elles ne se présentent pas dans le même décor.
Le lien entre les vignettes : élément assurant un enchaînement spécifique entre deux vignettes.
Le zoom : succession de plans qui rapprochent progressivement le sujet.
L’ellipse : temps qui passe entre deux cases ou deux scènes. L’ellipse permet de sauter des événements sans importance afin de ne pas casser le rythme de l’action. (ou au contraire de ne pas montrer un événement important pour accentuer un suspense).
Le flash-back : “retour en arrière”. On l’utilise en général pour figurer ou représenter le souvenir d’un personnage, ou pour raconter une action s’étant déroulée avant la scène que nous sommes en train de lire.
B. Peeters, F. Schuiten, Les Cités obscures T. 3, La Tour, 1987 ed.Casterman
Hugo Pratt, Corto Maltese “Les Ethiopiques”.
Questions: Comment avez vous fait pour que nous comprenions votre histoire?
Expliquez quels plans et cadrages vous avez utilisé et pourquoi.