Consigne 1 : Représentez le premier portrait en retrouvant sa composition et en l’adaptant a son support.
Contraintes 1:
Format: 24×32
Médium: crayon de papier, fusain.
Consigne 2 : Représentez le portrait projeté en adaptant médium et outil au support.
Contraintes 2 :
Format : A3 ou A4 ou A5
Medium : Fusain/ Pastel, Stylo bille fin ou feutre noir fin Aquarelle
Notions abordées: composition et format. Permettre aux élèves de s’interroger sur l’adaptation d’une technique, d’un medium, à un format.
Compétence technique. : Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu.
(l’élève a-t-il réussi à retrouver la composition et les proportions du personnage du tableaux projeter en tenant compte de la totalité du format. A-t-il réussi à adapter, le medium choisi au format choisi dans la réalisation de la seconde production. (format/medium/technique, respect des proportions et de la composition, ombres lumière, couleurs)
Compétence Théorique : S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et réflexive.
(L’élève a-t-il pris en compte les particularités de la représentation d’un portrait (sujet, points de vue, cadrage, fond et formes). A-t-il pris en compte et expérimenté les possibilités offerte par les mediums proposés en fonction du format choisi (stylo, crayon ou feutres pour des détails fin, pastelles peintures ou fusain pour les surfaces ou les dégradées, adaptation du format au geste).
Compétence Culturelle : Dire avec un vocabulaire approprié ce que l’on fait, ressent, imagine, observe, analyse ; s’exprimer pour soutenir des intentions artistiques ou une interprétation d’œuvre. Établir des liens entre son propre travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées.
(L’élève peut-il décrire les actions plastiques qu’il a effectué pour réaliser sa production : analyse de la composition, organisation, travail du fond et des formes medium choisis, format. L’élève peut-il expliquer les différences ou les similitudes entre le premier portrait (un tableaux) et le second (une photographie) (technique, format, composition, fond et formes, ombres et lumières, couleurs).
Vocabulaires : Portrait, Support, Médium, Nuance, Estomper, Mise en valeur .
Portrait : Représentation de quelqu’un par un médium, tel que le dessin, la peinture, la photographie, etc.
Support : élément sur lequel on va déposer la matière (toile, feuille, carton, etc).
Médium: technique avec laquelle on créé une production artistique (peinture, crayon, fusain, etc).
Nuance : une même couleur dégradé du plus clair au plus foncé.
Estomper : étaler la matière pour adoucir certains traits ou créer des ombres.
Mise en valeur : action de mettre en avant , de souligner, une œuvre ou une partie de celle ci, (par la couleur, la lumière, le cadrage).
Comment avez vous adapté le médium au format que vous avez choisi ?
En quoi la photo projetée est elle différente ou similaire des portraits représentés en références (Composition, technique, mise en scène) ?
Consigne : Décalquez votre premier portrait et travailler le de sorte qu’il exprime l’émotion ressentie lorsque vous écoutez The Jimi Hendrix Experience, « Purple Haze ».
Contraintes :
– Bichromie
– Vous ne
pourrez pas modifier les traits du portrait de départ
– Format A4
Compétence
technique.Choisir, mobiliser et adapter des langages
et des moyens plastiques en fonction de leurs effets dans une intention
artistique.
(L’élève
est-il capable d’utiliser la composition, les couleurs et le graphisme dans l’objectif
de transmettre une émotion ? Est-il capable de représenter une émotion
autrement que part le réalisme ?).
Compétence
Théorique.Confronter intention et réalisation dans la
conduite d’un projet pour l’adapter et le réorienter, s’assurer de la dimension
artistique de celui-ci.
(L’élève est-il capable d’interpréter une chanson pour en faire une production plastique ? Est-il capable d’analyser l’émotion, les sensations ressenties et de trouver des formes, des couleurs afin de les retranscrire par le dessin ?).
Compétence culturelle.Expliciter la pratique individuelle
ou collective. Établir des liens entre son propre travail, les œuvres
rencontrées ou les démarches observées.
(L’élève
est-il capable d’expliquer sa démarche et de justifier chaque choix qu’il a
fait en relation avec la musique écoutée ? : Sons aigus ou graves,
instruments de musique, rythme, etc par rapports aux formes, aux couleurs, au
graphisme et à la composition).
Autoportrait : Se représenter soi-même mais pas uniquement physiquement.
Portrait : Représenter de façon ressemblante
une personne avec sa tenue et ses expressions caractéristiques.
Touche : C’est la manière dont le
peintre par son coup de pinceau, pose la couleur sur la toile.
Composition : Organisation réfléchie des éléments les un avec les autre et par rapport au support. Elle est basée sur des LIGNES DE FORCE (ou lignes directrices). Ce sont les directions principales que suivent les éléments principaux (formes ergométriques, figures, couleurs).
Psychédélisme : mouvement apparu dans le milieu des années 1960. Le style est fait d’enchevêtrements et de courbes sinueuses qui se multiplient à l’infini. L’usage de couleurs saturées et multiples est de rigueur. On retrouve l’influence à la fois de l’Art nouveau (en particulier d’Alfons Mucha), les expériences visuelles liées à la prise de drogues hallucinatoires et de l’art indien.
Op art : ou artoptique,
est une expression utilisée pour décrire certaines pratiques et recherches
artistiques faites à partir des années 1960, et qui exploitent la faillibilité
de l’œil à travers des illusions ou des jeux d’optique.
Question :
En quoi ton
autoportrait montre t-il plus que ton apparence physique ?
Comment expliques-tu le lien entre ton travail et la musique étudiée ?
Réalisez une composition réunissant 3 vanités de votre choix
parmi la liste proposée (richesse, savoir, fragilité de la vie, beauté,
pouvoir, les 5 sens…) et 2 objets vous représentants (objet sentimental,
qui représente vos origines, vos passions, etc).
Contraintes :
– Techniques sèches
– noir et blanc
– Format A3
Notion abordée : La composition, permettre aux élèves de s’interroger sur se qui définit un autoportrait.
Compétence technique. Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques en fonction de leurs effets dans une intention artistique.
(l’élève a-t-il réussi à composer son dessin en organisant les différents éléments représenter dans son format (position, plans, taille) a-t-il réussi à mettre en valeurs les objet en utilisant que le noir et blanc: fond, textures, épaisseur de trait.)
Compétence Théorique. Confronter intention et
réalisation dans la conduite d’un projet pour l’adapter et le
réorienter, s’assurer de la dimension artistique de celui-ci.
(l’élève a-t-il réussi à faire comprendre qu’il a réaliser son autoportrait par le dessin et l’organisation d’élément symbolique le représentant et en prenant en compte la totalité du format).
Compétence culturelle.Expliciter la pratique individuelle ou collective
Établir des liens entre son propre travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées
(L’élève peut-il décrire les actions plastiques qu’il a effectué pour réaliser sa production : composition, organisation, travail du fond et des formes. L’élève peut-il expliquer en quoi ces choix lui ont permis de réaliser son autoportrait et de nous faire comprendre que sa réalisation en est un.)
Vocabulaire :
Autoportrait, vanités, allégorie, symbolique, composition, mise en scène.
Autoportrait :Se représenter soi-même mais pas uniquement physiquement.
Portrait : Représenter de façon ressemblante une personne avec sa tenue et ses expressions caractéristiques.
Vanités : c’est une représentation allégorique de la mort, du passage du temps, de la vacuité des passions et activités humaines .
Allégorie : représentation d’une idée abstraite ou d’une notion de morale (ex : la liberté).
Symbole : Signe figuratif qui représente un concept (ex : La colombe pour la paie, la balance pour la justice, etc).
Composition : organiser un espace de façon réfléchie.
Mise en scène : organiser des éléments les uns par rapport au autres, pour créer une ambiance.
Question : En quoi ton travail est il un autoportrait même si on ne voit pas ton visage ?2
Décalquez « intelligemment » votre portrait et transformez le afin qu’il soit fusionné avec un animal.
Contraintes :
technique sèche , entièrement à la couleur
– Réalisme imposé
– Format A4
Compétence technique. Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques en fonction de leurs effets dans une intention artistique.
Compétence Théorique. Confronter intention et
réalisation dans la conduite d’un projet pour l’adapter et le
réorienter, s’assurer de la dimension artistique de celui-ci.
Compétence culturelle.Expliciter la
pratique individuelle ou collective. Établir des liens entre son propre
travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées
Vocabulaire : portrait, autoportrait, hybridation
Autoportrait : Se représenter soi-même mais pas uniquement physiquement.
Portrait : Représenter de façon ressemblante une personne avec sa tenue et ses expressions caractéristiques.
Hybridation : Mélange de deux choses différentes.
Charles Le Brun, Trois têtes d’homme en relation avec le lion, pierre noire, plume et encre noire, lavis gris et gouache blanche, vers 1668- 1678.
Daniel Lee, Manimals,12 Chinese Zodiac, 76×60 cm, 1993.
Flora Borsi, Animeyed, 2016
Question : Comment as tu fait pour fusionner ton autoportrait et l’animal que tu as choisi ?
Consigne 1 : Représentez le premier portrait en retrouvant sa composition et en l’adaptant a son support.
Contraintes 1:
Format: 24×32
Médium: crayon de papier, fusain.
Consigne 2 : Représentez le portrait projeté en adaptant médium et outil au support.
Contraintes 2 :
Format : A3 A4 A5
Medium : Fusain/ Pastel, Stylo bille fin ou feutre noir fin Aquarelle
Notions abordées: composition et format et comment adapter la technique au format.
Compétence Plastique : Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques variés en fonction de leurs effets dans une intention artistique en restant attentif à l’inattendu.
Compétence Théorique : S’approprier des questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et réflexive.
Compétence Culturelle : Dire avec un vocabulaire approprié ce que l’on fait, ressent, imagine, observe, analyse ; s’exprimer pour soutenir des intentions artistiques ou une interprétation d’œuvre. Établir des liens entre son propre travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées.
Vocabulaires : Portrait, Support, Médium, Nuance, Estomper, Mise en valeur .
Portrait : Représentation de quelqu’un par un médium, tel que le dessin, la peinture, la photographie, etc.
Support : élément sur lequel on va déposer la matière (toile, feuille, carton, etc).
Médium: technique avec laquelle on créé une production artistique (peinture, crayon, fusain, etc).
Nuance : une même couleur dégradé du plus clair au plus foncé.
Estomper : étaler la matière pour adoucir certains traits ou créer des ombres.
Mise en valeur : action de mettre en avant , de souligner, une œuvre ou une partie de celle ci, (par la couleur, la lumière, le cadrage).
Comment avez vous adapté le médium au format que vous avez choisi ? En quoi la photo projetée est elle différente ou similaire des portraits représentés en références (Composition, technique, mise en scène) ?2
Racontez dans une planche de BD un événement récent de
votre vie qui vous a surpris, ou inventez le.
Vous êtes le personnage principal, vous pouvez vous
représenter dans le style que vous voulez (cartoon, manga, comics,
géométrique…) mais on doit vous reconnaître (vêtements,
accessoires, coupe de cheveux, signes distinctifs).
Vous devrez écrire le scenario et faire le découpage
(répartition des cases) avant de commencer à réaliser votre BD.
Contraintes :
N&B ou couleurs
technique libre
7 a 9 cases dont au moins 5 changement de cadrages/plans.
les bulles et les cartouches de texte sont interdits.
les onomatopée et idéogrammes sont autorisés.
Compétence technique: Prendre en compte les conditions de la réception de sa production dès la démarche de création, en prêtant attention aux modalités de sa présentation.
Compétence Théorique: Se repérer dans les étapes de la réalisation d’une production plastique et en anticiper les difficultés éventuelles.
Compétence culturelle: Expliciter la pratique individuelle ou collective.
Vocabulaire:
Une planche : page entière de B.D., composée de plusieurs
bandes.
Une bande : (aussi appelée un “strip”) succession
horizontale de plusieurs images.
Une vignette : (aussi appelée une case) image d’une
bande dessinée délimitée par un cadre.
Une bulle : (aussi appelée un phylactère) forme variable
qui, dans une vignette, contient les paroles ou pensées des
personnages reproduites au style direct.
Un cartouche : encadré rectangulaire contenant des
éléments narratifs et descriptifs assumés par le narrateur,
appelés également commentaires.
Dans les bulles :
Une onomatopée : mot qui imite un son ; les onomatopées
constituent le bruitage de la bande dessinée.
Un idéogramme : icône, symbole ou petit dessin exprimant
une pensée ou un sentiment.
La typographie : manière dont le texte est imprimé :
caractères, forme, épaisseur, disposition…
Le lettrage : réalisation des textes et dialogues d’une
bande dessinée. Ce travail est parfois assuré par un spécialiste,
le lettreur.
Plans: Ce sont les différentes façons de
présenter le sujet, vu à des distances divers (plan d’ensemble,
gros plan…) selon l’effet recherché. Les plans utilisés
ci-dessous sont aussi ceux utilisés au cinéma -(il en existe encore
d’autres).
Le Très gros plan : Plan qui met en valeur un élément
extrêmement précis. Par exemple: un oeil, un doigt, un canon de
revolver, un bouton…
Le Plan américain : Le personnage est coupé au-dessus des
genoux, il est donc cadré à mi-cuisse.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 4 – Mort ou Vif,
Editions Dargaud – 1994, Page 101
Le Plan moyen (plan-pied) : Le ou les personnages sont
entiers.
Enki Bilal, Croquis pour les décors et les costumes de OPA Mia.
Opéra de Denis Levaillant. Mis en scène par André Engel (Avignon,
1990), In : Nouvel Etat des Stocks, Editions Casterman – 2006
Le Plan de demi-ensemble : Le ou les personnages prennent le
pas sur le décor mais celui-ci reste très présent.
Le Plan Général ou Plan d’ensemble : Le personnage ou
l’élément principal est situé dans le décor, mais c’est ce
dernier qui est important.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 1 – Le Démon des
Caraïbes, Éditions Dargaud – 1992, Page 28
Angles de vue : Les angles de vue : différents
points de vue sous lesquels se présente chaque scène d’une bande
dessinée ; ils représentent la position de la “ caméra ” ou de
l’œil du lecteur ; ils contribuent à la lisibilité, à
l’ambiance et à l’interprétation d’une scène.
La plongée : vue de dessus ; elle situe les personnages dans
l’espace, les uns par rapport aux autres et par rapport à leur
environnement. Elle permet également de dramatiser une scène en
donnant un sentiment d’écrasement, d’infériorité, voire de
menace sur le sujet représenté.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The
Walking Dead, Publication depuis 2003
La contre plongée : vue de dessous ; elle magnifie le sujet,
lui donne un aspect de supériorité et de domination.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The
Walking Dead, Publication depuis 2003.
Procédés d’enchaînement des vignettes :
Une scène : suite d’images se présentant dans le même
décor.
Une séquence : suite d’images
ou de scènes formant un ensemble, même si elles ne se présentent
pas dans le même décor.
Le lien entre les vignettes :
élément assurant un enchaînement spécifique entre deux
vignettes.
Le zoom : succession de plans qui
rapprochent progressivement le sujet.
L’ellipse : temps qui passe
entre deux cases ou deux scènes. L’ellipse permet de sauter des
événements sans importance afin de ne pas casser le rythme de
l’action. (ou au contraire de ne pas montrer un événement
important pour accentuer un suspense).
Le flash-back : “retour en arrière”. On l’utilise en
général pour figurer ou représenter le souvenir d’un
personnage, ou pour raconter une action s’étant déroulée avant
la scène que nous sommes en train de lire.
B. Peeters, F. Schuiten, Les Cités obscures T. 3, La Tour, 1987
ed.Casterman
Hugo Pratt, Corto Maltese “Les Ethiopiques”.
Questions: Comment avez vous fait pour que
nous comprenions votre histoire?
Expliquez quels plans et cadrages vous avez utilisé et pourquoi.
Quelques conseils et pistes de travail
Dans cette séquence vous serez évalué sur votre capacité à
faire la narration d’une courte séquence, d’une scène, uniquement
par les images, leurs cadrage et l’enchaînement des cases.
Nous vous demandons de réaliser une planche (une page) de 7 à 9 cases maximum.
Commencer par écrire de manière simple votre histoire :
la situation de départ est la même pour tous le monde (vous êtes
chez vous quand soudain…)
inventez la suite, ne faite pas quelque chose de trop long, ce
n’est qu’une séquence, une courte scène, et il n’y a pas de
dialogues !
Partez de la situation de départ :
vous êtes dans quelle pièce de votre maison ou appartement ?
Que faite vous ? Quel heure est il ?
Ensuite définissez l’événement qui
vas arriver : un bruit étrange, surprenant, inquiétant?
l’arrivée d’une personne, d’un animal ? Un message sur votre
portable ? Un mot glissé sous la porte ? Une coupure
d’électricité ?, un événement arrivant à l’extérieur…
Puis votre réaction et comment cette scène vas se terminer : allez vous montrer la fin ou vous arrêter sur un suspens ?
Une fois l’histoire définie faites le
« découpage » : qu’allez vous montrez dans chaque
cases, quel cadrage, quel plan.
Faite attention au sens de lecture !
(1er case en haut à gauche, dernière case en bas à droite)
pour la réalisation : la technique est libre : dessin traditionnel sur feuille, collages, photographies…
mais attention votre travail devra
ressembler à une planche de BD, donc avec un cadre et des
séparations entre chaque cases.
Vous pouvez dessiner vos cases sur une
feuille et vos dessins sur la même feuille, ou vos dessin à part et
les coller ensuite dans les cases.
Vous pouvez aussi vous aider
d’application pour faire votre BD comme celle ci :
vous pouvez aussi juste photographier
vos cases et les importer ensuite dans l’application
Vous pouvez aussi directement dessiner dans une application et ensuite les importer dans une planche ou même vous aider d’images prise sur internet, mais attention vous devez les retravailler ! (changement des couleurs, cadrage ou plan différent…)
tous les types de graphisme sont possible, du dessin classique en passant par le comics, le manga ou le dessin géométrique simplifié. Mais aussi la photographie ou le photomontage ou les images 3d (pourquoi pas en faisant des capture d’écran d’un jeux vidéo) .
N’oublier pas que le personnage principal doit vous ressembler d’une certaine manière : physiquement, détails, vêtement….
Consigne :
Photographiez une mise en scène de
plusieurs objets que vous aurez choisis par rapport à votre
caractère, personnalité, éléments qui vous représentent.
Vous devrez réaliser 3
photos de votre composition en variant les cadrage, les points de vue
et les ambiances lumineuses.
Contraintes :
3 Photographies
Vous devrez réaliser 3
photos de votre composition en variant les cadrage, les points de vue
et les ambiances lumineuses.
Vous posterez ces image au format .jpg dans la discussion « rendu des travaux » correspondant à votre classe.
et vous répondrez aux 2 questions dans le même post.
Compétence technique. Prendre en
compte les conditions de la réception de sa production dès la
démarche de création, en prêtant attention aux modalités de sa
présentation, y compris numérique.
Compétence Théorique. S’approprier des
questions artistiques en prenant appui sur une pratique artistique et
réflexive.
Compétence culturelle. Décrire et interroger à
l’aide d’un vocabulaire spécifique ses productions plastiques,
celles de ses pairs et des œuvres d’art étudiées en classe.
Établir des liens entre son propre travail, les œuvres
rencontrées ou les démarches observées
Vocabulaire: Composition, point de vue, cadrage et lumière. Nature morte. Autoportrait, clair obscur, mise en scène.
Composition : organiser
un espace de façon réfléchie.
Jacques Louis David, Le serment des Horaces,
1784
Point de vue : il dépend de l’endroit où tu observes la scène (point de vue frontale : de face ; point de vue en plongée : de haut ; point de vue en contre plongée : de bas ; point de vue aérien : comme en avion).
Cadrage : Ce
qu’on choisi de montrer dans l’image.(gros plan, plan large, en
portrait ou en paysage)
Nature morte : Terme qui désigne la représentation peinte d’objets inanimés.
Autoportrait :
Se
représenter soi-même de manière réaliste ou symbolique, en tenant
compte de son caractère, son attitude ses passions.
Mise en scène : organiser des éléments
les uns par rapport au autres, pour créer une ambiance.
Arman, Autoportrait robot, assemblage
sous plexiglas, 1992
Le clair-obscur : c’est dans une peinture le contraste entre zones claires et zones sombres. il suggère le relief en imitant par des nuances plus clair l’effet de la lumière sur les volumes.
Questions :
En quoi les objets que tu as choisis te représentent-ils ?
En quoi le cadrage, la composition et la lumière mettent en valeur tes objets ?
Quelques conseils et pistes de travail
L’objectif de cette
séquence est de vous faire réfléchir à la disposition d’objets de
votre choix vous représentant.
Attention nous souhaitons
voir une composition d’objet, il doivent s’organiser les un par
rapport au autre et pas seulement les juxtaposer.
Allez vous les disposer en
longueur, en hauteur, sur une table, au sol, sur une étagère ?
Allez vous les superposer,
les organiser pour représenter autre chose ?
Dans un deuxième temps
vous devrez réfléchir à la façon dont vous allez éclairé ces
objets,
Allez vous utiliser une lampe, la lumière naturelle ?
Allez vous éclairé tous les objets de la même manière, ou juste les plus importants.
La lumière viendra elle d’une seul direction ou de plusieurs source ? D’en haut ? Rasante ?
Verra on l’arrière plan ou restera il dans la pénombre ?
Pour finir réfléchissez à votre cadrage et à votre point de vue. Prendrez vous la photo de près ou de loin ? En portrait ou en paysage ?
En plongé ? En contre-plongé ? De face ?
Verrons nous nettement tout les objets ou que les plus importants?
le travail est à poster au plus tard le 15 Mars.
Consigne : Un personnage dans un lieu sombre entend un bruit sourd / étrange … Que se passe-t-il ?
Racontez dans une planche de BD un événement de votre vie qui vous a surpris, ou inventez le.
Vous
êtes le personnage principal, vous pouvez vous représenter dans le
style que vous voulez (cartoon, manga, comics, géométrique…) mais
on doit vous reconnaître (vêtements, accessoires, coupe de cheveux,
signes distinctifs).
Vous devrez écrire le scenario avant de commencer à dessiner.
Contraintes :
– Dessin
– N&B + une couleur significative
– 7 a 9 cases dont au moins 5 changement de cadrages/plans.
– les bulles et les cartouches de texte sont interdits.
-les onomatopée et idéogrammes sont autorisés.
Compétence technique: Prendre en compte les conditions de la
réception de sa production dès la démarche de création, en prêtant
attention aux modalités de sa présentation.
Compétence Théorique: Se repérer dans les étapes de la réalisation d’une production plastique et en anticiper les difficultés éventuelles.
Compétence culturelle: Expliciter la pratique individuelle ou collective.
Vocabulaire:
Une planche : page entière de B.D., composée de plusieurs bandes.
Une bande : (aussi appelée un “strip”) succession horizontale de plusieurs images.
Une vignette : (aussi appelée une case) image d’une bande dessinée délimitée par un cadre.
Une bulle : (aussi appelée un phylactère) forme variable qui, dans
une vignette, contient les paroles ou pensées des personnages
reproduites au style direct.
Un cartouche : encadré rectangulaire contenant des éléments narratifs
et descriptifs assumés par le narrateur, appelés également
commentaires.
Dans les bulles :
Une onomatopée : mot qui imite un son ; les onomatopées constituent le bruitage de la bande dessinée.
Un idéogramme : icône, symbole ou petit dessin exprimant une pensée ou un sentiment.
La typographie : manière dont le texte est imprimé : caractères, forme, épaisseur, disposition…
Le lettrage : réalisation des textes et dialogues d’une bande
dessinée. Ce travail est parfois assuré par un spécialiste, le lettreur.
Plans: Ce sont les différentes façons de présenter
le sujet, vu à des distances divers (plan d’ensemble, gros plan…) selon
l’effet recherché. Les plans utilisés ci-dessous sont aussi ceux
utilisés au cinéma -(il en existe encore d’autres).
Le Très gros plan : Plan qui met en valeur un élément
extrêmement précis. Par exemple: un oeil, un doigt, un canon de
revolver, un bouton…
Le Plan américain : Le personnage est coupé au-dessus des genoux, il est donc cadré à mi-cuisse.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 4 – Mort ou Vif, Editions Dargaud – 1994, Page 101
Le Plan moyen (plan-pied) : Le ou les personnages sont entiers.
Enki Bilal, Croquis pour les décors et les costumes de OPA Mia. Opéra
de Denis Levaillant. Mis en scène par André Engel (Avignon, 1990), In :
Nouvel Etat des Stocks, Editions Casterman – 2006
Le Plan de demi-ensemble : Le ou les personnages prennent le pas sur le décor mais celui-ci reste très présent.
Le Plan Général ou Plan d’ensemble : Le personnage ou l’élément
principal est situé dans le décor, mais c’est ce dernier qui est
important.
Charlier et Hubinon, Barbe-Rouge – Tome 1 – Le Démon des Caraïbes, Éditions Dargaud – 1992, Page 28
Angles de vue : Les angles de vue : différents
points de vue sous lesquels se présente chaque scène d’une bande
dessinée ; ils représentent la position de la “ caméra ” ou de l’œil du
lecteur ; ils contribuent à la lisibilité, à l’ambiance et à
l’interprétation d’une scène.
La plongée : vue de dessus ; elle situe les personnages dans
l’espace, les uns par rapport aux autres et par rapport à leur
environnement. Elle permet également de dramatiser une scène en donnant
un sentiment d’écrasement, d’infériorité, voire de menace sur le sujet
représenté.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The Walking Dead, Publication depuis 2003
La contre plongée : vue de dessous ; elle magnifie le sujet, lui donne un aspect de supériorité et de domination.
Charlie Adlard (dessinateur), Robert Kirkman (scénariste), The Walking Dead, Publication depuis 2003.
Procédés d’enchaînement des vignettes :
Une scène : suite d’images se présentant dans le même décor.
Une séquence : suite d’images ou de scènes formant un ensemble, même si elles ne se présentent pas dans le même décor.
Le lien entre les vignettes : élément assurant un enchaînement spécifique entre deux vignettes.
Le zoom : succession de plans qui rapprochent progressivement le sujet.
L’ellipse
: temps qui passe entre deux cases ou deux scènes. L’ellipse permet de
sauter des événements sans importance afin de ne pas casser le rythme de
l’action. (ou au contraire de ne pas montrer un événement important
pour accentuer un suspense).
Le flash-back : “retour en
arrière”. On l’utilise en général pour figurer ou représenter le
souvenir d’un personnage, ou pour raconter une action s’étant déroulée
avant la scène que nous sommes en train de lire.
B. Peeters, F. Schuiten, Les Cités obscures T. 3, La Tour, 1987 ed.Casterman
Hugo Pratt, Corto Maltese “Les Ethiopiques”.
Questions: Comment avez vous fait pour que nous comprenions votre histoire?
Expliquez quels plans et cadrages vous avez utilisé et pourquoi.
Réalisez une composition réunissant 3 vanités de votre choix parmi la liste proposée (richesse, savoir, fragilité de la vie, beauté, pouvoir, les 5 sens…) et 2 objets vous représentants (objet sentimental, qui représente vos origines, vos passions, etc).
Contraintes :
– Techniques sèches
– noir et blanc
– Format A3
Compétence technique. Choisir, mobiliser et adapter des langages et des moyens plastiques en fonction de leurs effets dans une intention artistique.
Compétence Théorique. Confronter intention et réalisation dans la conduite d’un projet pour l’adapter et le réorienter, s’assurer de la dimension artistique de celui-ci.
Compétence culturelle.Expliciter la pratique individuelle ou collective
Établir des liens entre son propre travail, les œuvres rencontrées ou les démarches observées
Vocabulaire :
Autoportrait, vanités, allégorie, symbolique, composition, mise en scène.
Autoportrait :Se représenter soi-même mais pas uniquement physiquement.
Portrait : Représenter de façon ressemblante une personne avec sa tenue et ses expressions caractéristiques.
Vanités : c’est une représentation allégorique de la mort, du passage du temps, de la vacuité des passions et activités humaines .
Harmen Steenwyck, Still life : an allegory of the vanities of human life, vers 1640.
Allégorie : représentation d’une idée abstraite ou d’une notion de morale (ex : la liberté).
Statue de la Liberté, La Liberté illuminant le monde, Auguste Barthold 1886. New-York, sur l’île de Liberty Island au sud de Manhattan,
Symbole : Signe figuratif qui représente un concept (ex : La colombe pour la paie, la balance pour la justice, etc).
Composition : organiser un espace de façon réfléchie.
Jacques Louis David, Le serment des Horaces, 1784
Mise en scène : organiser des éléments les uns par rapport au autres, pour créer une ambiance.
Arman, Autoportrait robot, assemblage sous plexiglas, 1992
Question : En quoi ton travail est il un autoportrait même si on ne voit pas ton visage ?